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الأربعاء، 27 مايو 2015

Fifa : l'attribution du Mondial 2010 à l'Afrique du Sud était "corrompue"

Les accusations proviennent de la ministre américaine de la Justice.

L'attribution de la Coupe du monde de football 2010 à l'Afrique du Sud était "corrompue", a accusé mercredi la ministre américaine de la Justice à New York, lors d'une conférence de presse sur le scandale de corruption au sein de la Fifa. "La Coupe du monde 2010 (...) a été attribuée à l'Afrique du Sud, pour la première fois le tournoi se tenait sur le continent africain", a expliqué Loretta Lynch. "Mais même pour cet événement historique, des dirigeants de la Fifa et d'autres ont corrompu le processus en utilisant des pots-de-vin pour influencer la décision d'attribution", a-t-elle déploré.
"Il ne s'agit que d'accusations", a réagi Dominic Chimhavi, porte-parole de la Fédération sud-africaine de football. "Personne n'est sous le coup d'une enquête ici", a-t-il ajouté, sans davantage de commentaires sur les déclarations de Loretta Lynch. Le ministère américain de la Justice a annoncé plus tôt dans la journée l'inculpation pour corruption de neuf élus de la Fifa et de cinq partenaires de cette instance mondiale du football, pour des faits s'étalant sur les 24 dernières années.

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الثلاثاء، 26 مايو 2015

Pour Bruxelles, le « Brexit » serait encore pire

e Monde et cinq quotidiens européens, El Pais, The Gardian, La Stampa, Gazeta Wyborcza et Süddeutsche Zeitung, réunis dans le réseau Europa, analysent les repercussions du « Brexit » sur l’Union.

David Cameron, à Bruxelles, le 23 avril.
Le mot le plus galvaudé à Bruxelles est « réforme ». Le problème, c’est qu’aucun dirigeant européen n’entend la même chose par « réforme ». Pour un dirigeant allemand, réformer signifie procéder à des changements structurels et équilibrer les budgets pour être plus compétitifs. Pour un Français ou un Italien, cela veut dire plus de dépenses publiques, des politiques orientées vers la création d’emplois. Et pour David Cameron, évidemment, réformer l’Union européenne (UE) passe par un nouveau contrat pour la Grande-Bretagne. La réforme, pour lui, cela veut dire la reconnaissance de l’exception britannique en Europe.
Dans la discussion sur la renégociation à venir, l’accent a été mis jusqu’ici sur l’éventualité de la modification des traités, les termes de l’adhésion de la Grande-Bretagne à l’UE et les conséquences juridiques d’un changement. Mais M. Cameron est resté volontairement vague, essayant plutôt de savoir ce que les autres – par les autres, il entend essentiellement Angela Merkel – sont prêts à céder. Il n’y aura pas de modification importante des traités. Cela prendra trop de temps. Et les dirigeants de la zone euro sont profondément irrités par le côté donneurs de leçons de David Cameron et George Osborne, son ministre des finances.
Dans l’idéal, le premier ministre britannique voudrait obtenir un droit de veto pour la Chambre des communes sur la législation européenne. Il n’a aucune chance de l’obtenir : 27 autres parlements demanderaient la même chose et l’Union risquerait la paralysie. Il voudrait retirer du traité, ou tout au moins en exempter la Grande-Bretagne, la clause prônant « une union toujours plus étroite » – un manifeste fédéraliste, aux yeux des eurosceptiques.

Liberté de circulation

L’immigration et la liberté de circulation sont des revendications cruciales pour M. Cameron ; son gouvernement cherche un moyen légal de limiter les prestations sociales dont peuvent bénéficier les ressortissants de l’UE en Grande-Bretagne. Sur ce sujet-là, une évolution importante s’est produite. Jusqu’à novembre dernier, l’ancien président de la Commission José Manuel Barroso rejetait les arguments sur le « tourisme social ». Mais la petite musique qui émane ces temps-ci de Donald Tusk, le président du Conseil européen, et de Jean-Claude Juncker à la tête de la Commission est que, certes, la liberté de circulation est sacro-sainte, mais qu’elle ne doit pas pour autant servir de prétexte à l’abus de services sociaux. Ce ne sont pas les faits qui ont changé. C’est la politique. Cameron peut donc arracher quelque chose ici, qui l’autorise à refuser les allocations-chômage aux migrants de l’UE ou les compensations pour les bas salaires. Ceci pour une période limitée : le premier ministre parle de quatre ans.
Mais il va rencontrer de la résistance. Les ressortissants de l’UE sont censés être égaux : une telle mesure serait discriminatoire et créerait deux catégories de citoyens européens. En outre, il y aura un certain degré de réciprocité. Or quelque deux millions de Britanniques vivent ailleurs dans l’UE ; des dizaines de milliers d’entre eux bénéficient de prestations sociales dans leur pays d’accueil. L’objectif de M. Tusk dans cette négociation sera d’obtenir un accord d’ensemble qui, oui, « réforme » l’Union, en accordant à Londres quelques concessions que tout le monde considérera bénignes.
Il y a actuellement une négociation en Europe de 18 contre 1, celle de la zone euro avec la Grèce. Elle se passe mal, avec une perspective de moins en moins irréaliste de sortie de l’euro pour la Grèce. Si M. Cameron finit par se retrouver seul face à 27, ce sera une mauvaise stratégie, préfigurant sans doute un mauvais dénouement. Et personne en Europe n’en a envie, car tout le monde sait que le « Brexit » sera bien pire que le « Grexit ».
David Cameron, à Bruxelles, le 23 avril.

Nicolas Sarkozy, le président de l'ombre

L'ÉVÉNEMENicolas Sarkozy, le président de l'ombreL'ancien Président de la République est un fan de foot et le Paris Saint-Germain est son club de coeur. Cette passion remonte à loin mais Nicolas Sarkozy n'hésite plus à s'afficher en ambassadeur d'un club dont il se targue de tirer les ficelles en coulisses.
«Il aimerait bien être président du PSG.»
Selon nos informations, à l’été 2014, Nicolas Sarkozy a notamment suggéré aux dirigeants parisiens d’enrôler David Luiz. Selon lui, le défenseur brésilien de Chelsea était l’homme de la situation. Lors d’une soirée, il y a quelques mois, Sarko s’est attribué la paternité de ce recrutement auprès de Nasser al-Khelaïfi : «Je t’avais dit que c’était lui qu’il fallait recruter !» Cet hyper président de l’ombre ne s’est pas non plus caché avoir plaidé la cause de Laurent Blanc et insisté auprès de Nasser Al-Khelaïfi, le vrai président du PSG, pour qu’il confie le poste d’entraîneur au champion du monde 98. Dans FF,  Claude Guéant va plus loin encore dans la confidence et assure qu’il a souvent entendu Sarkozy dire, «de la façon la plus sincère et la plus sérieuse qui soit, qu’il aimerait bien être président du PSG. Il l’a dit à son entourage proche comme à des personnes tout à fait extérieures. Quand il le disait, ce n’était pas de la rigolade. S’il n’avait pas été élu président, je crois que cela aurait pu le tenter. Il ne faisait pas mystère du goût qu’il aurait à devenir président du PSG. Il était sûr d’y réaliser de grandes choses. Parce qu’il aime le sport et être en relation avec les hommes. Le PSG, c’est sa passion personnelle.»

Eric Champel et Yoann Riou

Ada Colau des squats à la mairie







Rendue célèbre par sa lutte contre les expulsions immobilières, Ada Colau est en passe de devenir la première maire "indignée" d'Espagne après être arrivée en tête dimanche aux élections municipales à Barcelone. Portrait.

Sur le point de s’emparer de la mairie de Barcelone, la militante Ada Colau vient révolutionner le paysage politique espagnol. En jeans et T-shirt, cette ancienne squatteuse de 41 ans au visage rond et au regard pétillant n’a rien en commun avec les professionnels de la politique.
Sans passé politique et sans avoir jamais adhéré à aucun parti, Ada Colau a mené aux municipales la liste Barcelone en commun, alliance de plusieurs partis de gauche intégrant notamment la formation antilibérale Podemos, portée par le mouvement des Indignés qui avait occupé les places d'Espagne en 2011. Accusée d'être populiste, inexpérimentée et radicale par ses rivaux, elle est parvenue à rallier les suffrages de plus de 176 000 électeurs lors des municipales, faisant de la deuxième ville la plus peuplée d'Espagne, avec 1,6 million d'habitants, le premier bastion des Indignés. Dimanche 24 mai, sa liste a obtenu onze sièges, contre dix pour le maire sortant Xavier Trias, un nationaliste conservateur. Ada Colau doit ainsi logiquement être investie par le conseil municipal, même si elle peut encore être renversée par une coalition d'opposants.
Le soir de sa victoire, en larmes, elle a affirmé devant des militants euphoriques qu'avec sa liste, c'était "l'espoir" qui avait gagné. L’espoir de la fin de l’austérité, dans un pays où plus d’un actif sur quatre est au chômage, et l’espoir d’une société "juste".
"C’est une vraie personne, pas encore un personnage. Pas un produit de laboratoire, comme certains de ses collègues de la gauche radicale", commente le journaliste Xavier Vidal-Folch, dans "El País". "Elle est pleine de réalités tangibles, de combats réels. C’est son grand atout."
Une "terroriste" décorée par le Parlement européen
Son "combat réel" le plus retentissant reste celui qu’elle a mené contre les expulsions de familles frappées par la crise en Espagne.


Après le krach immobilier de 2008 et devant le spectacle de milliers de familles à la rue sans un sou, cette militante antimondialisation et anti-guerre en Irak décide de concentrer ses efforts sur le droit au logement. Elle co-fonde alors la PAH (Plateforme des affectés par l'hypothèque) et dénonce avec force les excès de banques "complices" des dirigeants politiques.

Programme du Mardi 26 Mai 2015

Voici une sélection des matchs (non-exhaustive) concernant les Algériens évoluant à travers le monde ainsi qu’une liste des plus belles affiches du jour. Tous les horaires sont à l’heure d’Alger, pour l’Europe Occidentale (Paris), ajouter une heure.
En rouge : internationaux actuels - En gras : Clubs où évolue un Algérien
17:00 AFC Champions League | Lekhwiya – Al Sadd (Belhadj)
BeIN Sports 10 (Maghreb)
17:00 Coupe de la Ligue Hongrie | MTK Budapest – Debrecen (Bouadla)
Sport 1 (Eutelsat/Hongrie)
20:00 Amical Crystal Palace – Dundee FC (Guedioura)

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